2014 (à 27 ans) : 10 ans après le premier traitement. Cuspides des troisièmes molaires qui commençaient à apparaître. L’encombrement dentaire n’était pas encore très fort ou handicapant. Notamment de l’extérieur, et c’est ce qui m’a fait défaut. Quand les chevauchements ne sont pas choquants sur l’aspect global du visage et qu’on a peu de notions en orthodontie, on a du mal à imaginer les complications futures. Si le système de prévention et la prise en charge étaient plus développés et sérieux, beaucoup de problèmes osseux et dentaires pourraient être interceptés et traités à l’âge enfant. En sachant que les traitements adultes sont plus risqués, longs, et couteux, il est inquiétant de constater avec quelle légèreté beaucoup de dossiers sont traités. Pour en avoir fait l’expérience, je peux affirmer qu’une fois qu’on a un souci dentaire, quelle que soit sa taille, s’il a été mal soigné ou qu’on le laisse traîner (par choix ou contrainte), il deviendra grave et pourra transformer votre