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Il n'y avait plus aucun intérêt à garder ces boîtiers et faire du bricolage avec les fils. Mes recherches, tant pour trouver des praticiens que pour comprendre la biomécanique, devenaient trop usantes. Je n'ai plus l'énergie ni grand espoir de trouver une solution. Je n'ai pas pu enlever la colle de ces brackets moi-même, notamment par peur d'abîmer l'émail des dents. Cela a été fait un mois et demi plus tard (17 janvier 2024) par une dentiste qui a accepté de me faire un polissage. J'ai, en revanche, toujours des résidus de colle et de résine bleu sur certaines dents. Et les incisives frontales supérieures ont été rayées par le polissage.

 

24 mai 2023 (1 an, 2 mois et 9 jours après l’opération)

23-24 mai 2023 (1 an, 2 mois et 8 jours après l’opération) : - Pose de chaînettes élastiques fermées (anneaux serrés) sur les dents du bas et du haut. - J'ai dû raccourcir un peu l'arc du haut comme il me blessait l’intérieur de la joue.  J’ai utilisé une pince coupante classique. Elle fonctionne mais sa forme et coupe rendent le bout du fil pointu donc il faut le sectionner et repositionner avec le plus de précision possible. Chose qui n’est pas facile puisque qu’une fois l’arc rentré de nouveau dans ses brackets - puis la force exercée par la chaînette élastique - le fil a tendance à se replier un peu et glisser dans les tubes d’un côté ou de l’autre de la bouche. Il reste donc encore un peu de fil qui dépasse. Mais il sera malgré tout moins gênant qu’avant - le temps de me procurer l’outil adapté : une pince coupante distale rétentive, qui permet de couper les fils une fois qu'ils sont posés sur l'appareil. J’ai pris les mesures de l’arc pour essayer de comprendre qu

Avant de me lancer dans un traitement ortho-chirurgical, on m'avait expliqué l'importance de faire gagner plusieurs millimètres aux mâchoires, que c'était le seul moyen d'éliminer mes chevauchements dentaires et de ralentir les récessions gingivales causées en grande partie par cet encombrement.  Au départ - et quand on est une personne comme moi qui n'avait aucune connaissance en orthodontie - envisager une double ostéotomie pour obtenir seulement quelques millimètres d'espace, cela paraissait démesuré. Sans parler du fait que j'avais une peur bleue des chirurgies, en particulier quand elles concernent les zones de la tête. Il m'a fallu énormément de temps pour me faire à l'idée qu'aucun praticien n'accepterait de m'extraire 4 dents pour compenser mon problème et que ma seule option - jugée la meilleure - était l'opération. Maintenant que je l'ai subie, et en faisant le bilan de mon expérience, même si c'était le "mauvai

Nuit du 13 mai 2023 (1 an, 1 mois et 28 jours après l’opération) : Retrait provisoire de l’arc du haut pour pouvoir retirer (définitivement !) les deux bagues aux premières molaires maxillaires. Leurs tubes métalliques me blessaient de plus en plus les côtés de la langue et comme je ne comptais pas remettre un arc au palais, ces deux bagues ne servaient à rien.  De plus, il me semble que leurs brackets n’étaient pas positionnés à la bonne hauteur et dans le bon angle sur la dent. Ces deux molaires étaient condamnées à mal se déplacer dans tous les cas, donc autant qu’elles le fassent sans métal encombrant ni risque de caries. J’ai essayé de remodeler un peu le fil pour qu'il soit moins tordu, avant de le reglisser dans les boîtiers et j’en ai profité pour changer les élastiques. Je me demande s’il ne faudrait pas une tension plus forte et opter pour des chaînettes fermées (pas d'espace entre les anneaux) plutôt que les courtes. En attendant, j'ai pu augmenter davantage la t

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